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AppiMilk – un nouveau complément nutritionnel pour les truies en lactation … DE L’IMPORTANCE DE LIMITER LE DÉFICIT NUTRITIONNEL EN LACTATION… La production laitière engendre de fortes dépenses nutritionnelles qui ne sont pas toujours compensées par un ingéré d’aliment suffisant en maternité. Ceci est d’autant plus vrai que la consommation d’aliment des truies en lactation au sein d’un élevage donné, varie de 1 à 5 (LEMAY et GUAY, JRP 2017, mesures sur 815 truies). Ce risque de déficit nutritionnel (énergétique et ou protéique) se traduit par des fortes pertes d’épaisseur de lard dorsal voire une mobilisation trop importante du muscle. A court terme, le déficit nutritionnel pendant la lactation peut altérer les futures performances de reproduction, à moyen terme il peut réduire la longévité des truies. Un déficit d’acides aminés en lactation pénalise également le poids des porcelets au sevrage. Pour exemple, une supplémentation en valine dans l’aliment des truies en lactation a augmenté significativement le poids des portées de 112 à 120 kg (KLUGE, JRP 2017). ACIDES AMINÉS ET LYSINE INDISPENSABLES À LA PRODUCTION DE LAIT Différents instituts de recherche ont montré que les besoins en lysine de la truie en lactation sont de 40 à 60 g/j/truie. DES DÉFICITS EN LYSINE CHEZ 86 % DES COCHETTES EN LACTATION (SCHOTHORST 2016) Une étude récente du centre scientifique Schothorst a montré que les besoins de la truie en lactation sont de 45 g/j/truie pour 13 porcelets par portée quelque soit le rang de portée. Il faut compter 3g de lysine de + par porcelet supplémentaire par portée ce qui corrobore les résultats IFIP 2005 (47 g/j/truie). La différence entre ces 2 études porte sur la quantité moyenne d'aliment ingéré par truie. Elle est de 5.2 kg/j/truie pour Schothorst et de 6.3 kg/j/truie pour l'IFIP. L’ingéré des truies est donc un facteur primordial pour couvrir les besoins en lysine des animaux. Dans l'essai Schothorst, seulement 14% des cochettes couvrent leur besoin en lysine du fait du faible ingéré. Les auteurs recommandent donc un aliment spécifique cochette lorsque cela est possible ou un complément pour couvrir les besoins en lysine des animaux. Au-delà de 2 mm de perte d’ELD en lactation, la perte de chaque millimètre supplémentaire diminue la taille de la portée suivante d’au moins 0,2 porcelet (LEFEBVRE, 2005) (résultat sur 30 000 mesures d’ELD dans un cheptel de 1700 truies) DANS QUELS CAS UTILISER APPIMILK ? sur les truies ou cochettes présentant un déficit en Lysine Bilan Lysine en fonction de la quantité d'aliment ingéré Consommation moyenne 4 kg/j 5 kg/j 6 kg/j Nombre de porcelets / portée 11 12 13 14 11 12 13 14 11 12 13 14 Besoin en lysine dig. (g/j) 39 42 45 48 39 42 45 48 39 42 45 48 Lysine dig. aliment (g/kg) 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 Apport lysine dig. aliment (g/j) 36 36 36 36 45 45 45 45 54 54 54 54 Différence Apport - Besoin (g/j) -3 -6 -9 -12 6 3 0 -3 15 12 9 6 Utiliser AppiMilk OUI OUI AppiMilk
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PROPRIETES D' APPIMILK Aliment complémentaire pour les truies à faible ingéré, cochettes, truies avec grande portée. • Apport en Lysine permettant de prévenir les déficits • Apport complémentaire en Acides Aminés selon les recommandations du Centre Scientifique SchotHorst • Apport en enzymes pour favoriser la digestibilité de la ration COMPOSITION Protéines de soja, Blé, Sucre, Carbonate de calcium, Phosphate monocalcique, Enzymes, Autres sousproduits de fermentation, Oligo-éléments et vitamines. CONSTITUANTS ANALYTIQUES Protéines brutes : 57 % Matières grasses : 2 % Cellulose brute : 2.9 % Cendres brutes : 14.7 % Lysine : 6.3 % Méthionine : 3.8 % Calcium : 3.1 % Phosphore : 1.9 % MODE D'EMPLOI 100 grammes / truie / jour pendant toute la durée de lactation. Appimilk se présente sous forme de mini-granulés. Distribuer AppiMilk en top feeding sur l'aliment truie. Sac de 25 kg. AppiMilk
